La fin de la saison 2 de Project Blue Book vient de second’achever et History mind aura régalé d’une intrigue follement personnelle et passionnante.
Le professeur Hynek et le capitaine Quinn continuent de résoudre des enquêtes ufologiques en pleine Guerre froide. Si la saison one servait d’introduction au brace façon X-Files, cette seconde saison de Project Blue Book permet d’appréhender de façon summation personnelle les protagonistes. Le demonstrate de David O’Leary affine sa narration et use d’une reconstitution parfaite pour offrir à cette course à fifty’armement entre les blocs une vision inédite.
Parce que fiftya forcefulness de Project Blue Book est d’osciller entre thriller surnaturel et reckon historique sur fifty’affrontement entre les U.S. et l’States, cette nouvelle saison paraît addition pertinente encore que la précédente. Pourquoi ? Tout simplement parce que le demo de History brain livre une intrigue summation ancrée dans de véritables apparitions d’ovnis. Entre Rosewell ou la Zone 51, on navigue en terrain familier et c’est avec passion que l’on assiste à un développement des personnages mais aussi de considérations géopolitiques.
Octobre rouge
Aiden Gillen continue de faire des miracles devant la caméra en donnant vie au professeur Hynek à 50’aide de son timbre voilé, particulièrement enchanteur. Une performance bien contrastée par Michael Malarkey propre sur lui et straight. L’alchimie des acteurs est démultipliée et permet de constater fifty’étude de leur relation, véritable road moving picture aux allures de buddy pic sur fond de thriller politico-fantastique.
Si le format en série-feuilleton de Project Blue Book lorgne ouvertement vers le feuilleton pur, les intrigues bouclées n’apposent pas de ralentissement narratif à fifty’ensemble de la saison qui est véritablement passionnante. Les cas étudiés par le binôme sont autant de rebondissement malins, comme cet épisode méta où Hynek conseille un jeune Steven Spielberg sur le tournage de Rencontre du troisième type. Un biopic fort bien géré, surtout lorsqu’il lève le voile sur le véritable enjeu scénaristique, à savoir 50’opposition entre fifty’air-strength et une nouvelle agence toute puissante, la CIA. Un climat tendu qui trouve son paroxysme confront en pleine guerre froide.
Les agents secrets font depuis le début le sel de Project Blue Book, sorte de The Americans science-fictionnel. Espionnage, infiltration, oppositions idéologiques, tout concorde pour offrir des false semblants et peindre une structure narrative au climax qui tend inévitablement vers une guerre froide immuable, obligatoire. Une peur sourde, communicative parfaitement alliée à la crainte de fifty’envahisseur venu de summation loin, une métaphore xénophobique particulièrement forte et au combien magnifiée par une caméra discrète, clinique, aux mouvements latents, suspicieux.
Project Blue Book suggest une nouvelle saison historiquement addition intrigante que la première, aux personnages développés et à 50’ambiance inédite. Une réussite palpitante.